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« Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nom de son nom. » Apocalypse 13:16–17.

Lorsque Dieu conduisit son peuple hors de l’Egypte, et les nourrit de la manne dans le désert, ils avaient à ramasser chaque matin suffisamment pour uniquement que ce jour, et toute manne non utilisée devint infectée pourrissait et puyait. Mais le sixième jour ils devaient « préparer ce qu’ils avaient apporté et s’était deux fois ce qu’ils ramassaient par jour....Et ils le réservaient jusqu’au matin...et elle ne payait point...Ainsi le peuple se reposèrent le septième jour. » Exode 16:5, 24, 30. Ces paroles montrent que le peuple avait connaissance du Sabbat du septième jour de Dieu même avant que la loi fut promulguée sur le Mont Sinaï !

A Sinaï Dieu lui-même descendit et proclama sa Sainte loi – les dix commandements. Notez que le quatrième commandement, concernant le Sabbat Divin, se trouve au cœur même ou au centre de cette loi. C’est le sceau que Dieu a placé à sa loi pour ce que ce quatrième commandement contient les trois choses nécessaires à rendre une loi validée. Le nom du Législateur – ETERNEL; Son Titre Officielle – CREATEUR ; Son Domaine – Le CIEL et la TERRE.

« Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Eternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils...Car en six jours l’Eternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le septième jour : c’est pourquoi l’Eternel a béni le jour du repos et la sanctifié. » Exode 20:8-11.

Le Sabbat du septième jour fait partie de cette loi que Dieu mettra dans la pensée et l’écrira dans les cœurs de son peuple (voir Hébreux 8:10). Le Sabbat est le sceau, ou le signe que Dieu mettra aussi dans les fronts de ses serviteurs (voir Apoc. 7:3).

Jésus dit : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé » Mathieu 5:17–18.

« ...c’est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu, et la foi de Jésus. » « Et le dragon...s’en alla faire la guerre au reste...ceux qui gardent les commandements de Dieu. » « Heureux ceux qui font ses commandements, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville » Apocalypse 14:12; 12:17; 22:14.

Malgré l’exemple de Christ et ses paroles de vérité, « l’homme du péché...qui s’oppose et s’exalte au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu » (2 Thess. 2:3–4), présuma porter atteindre à la loi de Dieu et ainsi accomplit la prophétie de Daniel 7:25 – qui avait prédit que quelqu’un s’élèvera et tentera changer les temps et la loi. » La parole de Dieu, ensemble avec le récit historique, le démontre clairement.

Apocalypse 12:1-5 donne une représentation de la naissance de Jésus. Un énorme dragon rouge se tient devant une femme qui s’apprêtait à enfanter un garçon, « pour dévorer son enfant aussitôt qu’il est né. » La femme représente l’Eglise de Dieu, et le dragon est dit être Satan (verset 9) ce fut lui qui poussa Hérode à attenter à la vie du Sauveur (voir Mathieu 2:13–18). « Mais l’argent principal de Satan en menant la guerre contre Christ et son peuple aux premiers siècles de l’ère chrétienne fut l’Empire Romain, dans lequel, le paganisme fut la religion prévatente. Ainsi, alors qu’en premier le dragon représente Satan, c’est dans un sens secondaire, un symbole de Rome païenne.

« Dans le chapitre 13 (d’Apocalypse, verset 1-10) est décrit une autre bête, 'semblable à un léopard,' auquel le dragon donna 'sa puissance, et son trône, et grande autorité.' Ce symbole comme la majorité des Protestants l’ont cru, représente la papauté (l’Eglise Catholique), qui succéda au pouvoir à l’autorité et trône jadis tenus par l’ancien Empire Romain. Il est dit de la bête semblable au léopard: 'Il lui fut donné une bouche prononçant de grandes paroles de blasphèmes....Et elle ouvrit sa bouche en blasphème contre Dieu, pour blasphémer son nom et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. Et lui fut donné de faire la guerre contre les saints et de les vaincre...' » Tragédie des Siècles (Anglais), p 438-439.

Cette puissance continua, comme il fut prédit, pendant une période de 1260 années, débattant dans l’année 538 Ap J.C. et terminant en 1798 Ap. J.C, lorsqu’elle devait recevoir une blessure mortelle (voir Apocalypse 13:3) « En ce temps-là le Pape fut prit captif par l’armée Française, la puissance parole accomplit... » Idem., p. 439.

C’est le pourquoi il avait tenté de changer la loi de Dieu ! Les Catholiques Romains reconnaissent qu’ils ont substitué le premier jour de la semaine (ou Dimanche) ou septième jour de la semaine (ou Samedi) comme Sabbat du quatrième commandement.

« Comme le signe de l’autorité de l’Eglise Catholique, les auteurs papistes cite 'L’acte même du changement du Sabbat en Dimanche, que les Protestants ont accepté....parce qu’en gardant le Dimanche, ils reconnaissent le pouvoir de l’Eglise à ordonner des fêtes, et à les garder sous péché.' - Henry Tuberville, An Abridgement of the Christian Doctrine, p 58. Qu’est ce qui constitue alors le changement du Sabbat. C’est un signe, ou la marque, de l’autorité de l’Eglise Romaine - 'La marque de la Bête' ? » Idem., p. 448.

« A ce point (la blessure mortelle donnée à la papauté) un autre symbole est introduit. Dit le prophète : 'Je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à un agneau' (Apoc. 13:11). L’apparence et la manière de l’élévation de cette bête indiquent que la manière qu’elle représente n’est pas comparable aux autres présentées sous des symboles précédents. Les grands royaumes qui régnèrent le monde furent présentées au prophète Daniel comme des bêtes féroces, se levant lorsque 'les quatre vents du ciel luttaient sur la grande mer.' Daniel 7:2. Dans Apocalypse 17 un ange expliqua que les eaux représentent 'les peuples, et les multitudes, et les nations, et langues.' Apoc. 17:5. Les vents sont un symbole de lutte. Les quatre vents du ciel qui luttent sur la grande mer représentent les scènes terribles de conquête et révolution par lesquelles les royaumes ont accédé au pouvoir (voir Daniel 7).

« Mais la bête semblable à l’agneau fut observée 'Sortant de la terre.' Au lieu de renverser d’autres puissances pour s’établir, la nation ainsi représentée doit croître dans un territoire précédemment non-occupée et croître petit à petit et paisiblement s’élevait....

« Les cornes semblables à celles de l’agneau indique la jeunesse, l’innocence, et la douceur, représentent les Etats-Unis lorsqu’ils furent présentés au prophète 'comme s’élevant' en 1798 ». Mais la nature de cette bête douce changea radicalement et elle « 'parla comme un dragon. Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, la blessure mortelle avait été guérie...disent aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l’épée et qui vivait.' Apoc. 13:11–14....Pour que les Etats-Unis d’Amérique arrivent à former une image de la bête, la puissance religion se doit si bien contrôler le gouvernement civil que l’autorité de l’état sera aussi mise à contribution par l’Eglise pour accomplir ses desseins. » Tragédie des Siècles (Anglais), p. 439–443.

« Le monde va au-devant d’une terrible crise. Ces nations de la terre, coalisées pour faire la guerre aux commandements de Dieu, décréteront 'que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves' (Apoc 13:16), sont tenus de se conformer aux usages de l’Eglise en observant un faux jour de repos. Quiconque s’y refusera sera passible de peine civile et finalement déclaré digne de mort. D’autre part, la loi divine enjoignant l’observation du jour de repos du créateur exige l’obéissance et menace de la colère de Dieu celui qui transgresse les préceptes....

« La question du jour du repos – le point de la vérité particulièrement contesté – sera la grande pierre de touche de la fidélité. Lorsque les hommes seront soumis à cette épreuve finale, une ligne de démarcation claire et précise sera établie entre ceux qui servent Dieu et ceux qui ne le servent pas. D’autre part, l’observation du faux jour de repos, conformément à une loi de l’Etat opposée au quatrième commandement constituera la soumission à une autorité en conflit avec celle de Dieu, et, d’autre part du vrai jour de repos selon la loi de Dieu sera une preuve de fidélité au Crééateur. Tandis que les uns, en acceptant le signe de leur soumission au pouvoir terrestre, prendront la marque de la bête, les autres, en choisissant le signe de la fidélité à l’autorité divine, recevront le sceau de Dieu. » Tragédie des Siècles, p. 656–658 (Anglais p. 604-605).


	"LET THERE BE LIGHT" Ministries home \| French Tracts LE SCEAU DU DIEU VIVANT ET LA MARQUE DE LA BETE « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nom de son nom. » Apocalypse 13:16–17. Voudriez-vous connaître la signification de ces paroles importantes ? Alors, lisez attentivement ce qui suit : Lorsque Dieu conduisit son peuple hors de l’Egypte, et les nourrit de la manne dans le désert, ils avaient à ramasser chaque matin suffisamment pour uniquement que ce jour, et toute manne non utilisée devint infectée pourrissait et puyait. Mais le sixième jour ils devaient « préparer ce qu’ils avaient apporté et s’était deux fois ce qu’ils ramassaient par jour....Et ils le réservaient jusqu’au matin...et elle ne payait point...Ainsi le peuple se reposèrent le septième jour. » Exode 16:5, 24, 30. Ces paroles montrent que le peuple avait connaissance du Sabbat du septième jour de Dieu même avant que la loi fut promulguée sur le Mont Sinaï ! A Sinaï Dieu lui-même descendit et proclama sa Sainte loi – les dix commandements. Notez que le quatrième commandement, concernant le Sabbat Divin, se trouve au cœur même ou au centre de cette loi. C’est le sceau que Dieu a placé à sa loi pour ce que ce quatrième commandement contient les trois choses nécessaires à rendre une loi validée. Le nom du Législateur – ETERNEL; Son Titre Officielle – CREATEUR ; Son Domaine – Le CIEL et la TERRE. Lisons le commandement relatif au Sabbat : « Souviens-toi du jour du repos, pour le sanctifier. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Eternel, ton Dieu : tu ne feras aucun ouvrage, ni toi, ni ton fils...Car en six jours l’Eternel a fait les cieux, la terre et la mer, et tout ce qui y est contenu, et il s’est reposé le septième jour : c’est pourquoi l’Eternel a béni le jour du repos et la sanctifié. » Exode 20:8-11. Le Sabbat du septième jour fait partie de cette loi que Dieu mettra dans la pensée et l’écrira dans les cœurs de son peuple (voir Hébreux 8:10). Le Sabbat est le sceau, ou le signe que Dieu mettra aussi dans les fronts de ses serviteurs (voir Apoc. 7:3). Dieu déclare clairement: « Je leur donnais aussi mes Sabbats comme signe (manque ou sceau) entre moi et eux… auquel on connaisse que je suis l’Eternel votre Dieu. » Ezéchiel 20:12, 20. Le Sabbat fut une partie de la loi que Jésus magnifia et honora, et de laquelle il avait dit : « J’ai gardé les commandements de mon Père. » Jean 15:10. Ainsi « Celui qui dit qu’il demeure on lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même. » 1 Jean 2:6. C’est-à-dire, il doit aussi obéir à tous les commandements de Dieu. Jésus dit : « Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir. Car, je vous le dis en vérité, tant que le ciel et la terre ne passeront point il ne disparaîtra pas de la loi un seul iota ou seul trait de lettre, jusqu’à ce que tout soit arrivé » Mathieu 5:17–18. Dans le dernier livre de la Bible – Apocalypse, nous voyons aussi la loi de Dieu élevée et l’attention de ceux qui gardent ces commandement est attirée. « ...c’est ici la persévérance des saints, qui gardent les commandements de Dieu, et la foi de Jésus. » « Et le dragon...s’en alla faire la guerre au reste...ceux qui gardent les commandements de Dieu. » « Heureux ceux qui font ses commandements, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville » Apocalypse 14:12; 12:17; 22:14. Malgré l’exemple de Christ et ses paroles de vérité, « l’homme du péché...qui s’oppose et s’exalte au-dessus de tout ce qu’on appelle Dieu » (2 Thess. 2:3–4), présuma porter atteindre à la loi de Dieu et ainsi accomplit la prophétie de Daniel 7:25 – qui avait prédit que quelqu’un s’élèvera et tentera changer les temps et la loi. » La parole de Dieu, ensemble avec le récit historique, le démontre clairement. Apocalypse 12:1-5 donne une représentation de la naissance de Jésus. Un énorme dragon rouge se tient devant une femme qui s’apprêtait à enfanter un garçon, « pour dévorer son enfant aussitôt qu’il est né. » La femme représente l’Eglise de Dieu, et le dragon est dit être Satan (verset 9) ce fut lui qui poussa Hérode à attenter à la vie du Sauveur (voir Mathieu 2:13–18). « Mais l’argent principal de Satan en menant la guerre contre Christ et son peuple aux premiers siècles de l’ère chrétienne fut l’Empire Romain, dans lequel, le paganisme fut la religion prévatente. Ainsi, alors qu’en premier le dragon représente Satan, c’est dans un sens secondaire, un symbole de Rome païenne. « Dans le chapitre 13 (d’Apocalypse, verset 1-10) est décrit une autre bête, 'semblable à un léopard,' auquel le dragon donna 'sa puissance, et son trône, et grande autorité.' Ce symbole comme la majorité des Protestants l’ont cru, représente la papauté (l’Eglise Catholique), qui succéda au pouvoir à l’autorité et trône jadis tenus par l’ancien Empire Romain. Il est dit de la bête semblable au léopard: 'Il lui fut donné une bouche prononçant de grandes paroles de blasphèmes....Et elle ouvrit sa bouche en blasphème contre Dieu, pour blasphémer son nom et son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel. Et lui fut donné de faire la guerre contre les saints et de les vaincre...' » Tragédie des Siècles (Anglais), p 438-439. Cette puissance continua, comme il fut prédit, pendant une période de 1260 années, débattant dans l’année 538 Ap J.C. et terminant en 1798 Ap. J.C, lorsqu’elle devait recevoir une blessure mortelle (voir Apocalypse 13:3) « En ce temps-là le Pape fut prit captif par l’armée Française, la puissance parole accomplit... » Idem., p. 439. C’est le pourquoi il avait tenté de changer la loi de Dieu ! Les Catholiques Romains reconnaissent qu’ils ont substitué le premier jour de la semaine (ou Dimanche) ou septième jour de la semaine (ou Samedi) comme Sabbat du quatrième commandement. « Comme le signe de l’autorité de l’Eglise Catholique, les auteurs papistes cite 'L’acte même du changement du Sabbat en Dimanche, que les Protestants ont accepté....parce qu’en gardant le Dimanche, ils reconnaissent le pouvoir de l’Eglise à ordonner des fêtes, et à les garder sous péché.' - Henry Tuberville, An Abridgement of the Christian Doctrine, p 58. Qu’est ce qui constitue alors le changement du Sabbat. C’est un signe, ou la marque, de l’autorité de l’Eglise Romaine - 'La marque de la Bête' ? » Idem., p. 448. « A ce point (la blessure mortelle donnée à la papauté) un autre symbole est introduit. Dit le prophète : 'Je vis monter de la terre une autre bête, qui avait deux cornes semblables à un agneau' (Apoc. 13:11). L’apparence et la manière de l’élévation de cette bête indiquent que la manière qu’elle représente n’est pas comparable aux autres présentées sous des symboles précédents. Les grands royaumes qui régnèrent le monde furent présentées au prophète Daniel comme des bêtes féroces, se levant lorsque 'les quatre vents du ciel luttaient sur la grande mer.' Daniel 7:2. Dans Apocalypse 17 un ange expliqua que les eaux représentent 'les peuples, et les multitudes, et les nations, et langues.' Apoc. 17:5. Les vents sont un symbole de lutte. Les quatre vents du ciel qui luttent sur la grande mer représentent les scènes terribles de conquête et révolution par lesquelles les royaumes ont accédé au pouvoir (voir Daniel 7). « Mais la bête semblable à l’agneau fut observée 'Sortant de la terre.' Au lieu de renverser d’autres puissances pour s’établir, la nation ainsi représentée doit croître dans un territoire précédemment non-occupée et croître petit à petit et paisiblement s’élevait.... « Quelle nation du Nouveau Monde en Puissance en 1798...? Une, et une seule nation, répond aux spécifications de la prophétie; elle montre sans équivoque aux Etats-Unis l’Amérique.... « Les cornes semblables à celles de l’agneau indique la jeunesse, l’innocence, et la douceur, représentent les Etats-Unis lorsqu’ils furent présentés au prophète 'comme s’élevant' en 1798 ». Mais la nature de cette bête douce changea radicalement et elle « 'parla comme un dragon. Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle faisait que la terre et ses habitants adoraient la première bête, la blessure mortelle avait été guérie...disent aux habitants de la terre de faire une image à la bête qui avait la blessure de l’épée et qui vivait.' Apoc. 13:11–14....Pour que les Etats-Unis d’Amérique arrivent à former une image de la bête, la puissance religion se doit si bien contrôler le gouvernement civil que l’autorité de l’état sera aussi mise à contribution par l’Eglise pour accomplir ses desseins. » Tragédie des Siècles (Anglais), p. 439–443. Ceci bientôt s’accomplira. La « blessure mortelle » est proche de se guérir, comme l’a indiqué par la popularité et le pouvoir que le Pape gagne. « Le monde va au-devant d’une terrible crise. Ces nations de la terre, coalisées pour faire la guerre aux commandements de Dieu, décréteront 'que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves' (Apoc 13:16), sont tenus de se conformer aux usages de l’Eglise en observant un faux jour de repos. Quiconque s’y refusera sera passible de peine civile et finalement déclaré digne de mort. D’autre part, la loi divine enjoignant l’observation du jour de repos du créateur exige l’obéissance et menace de la colère de Dieu celui qui transgresse les préceptes.... « La question du jour du repos – le point de la vérité particulièrement contesté – sera la grande pierre de touche de la fidélité. Lorsque les hommes seront soumis à cette épreuve finale, une ligne de démarcation claire et précise sera établie entre ceux qui servent Dieu et ceux qui ne le servent pas. D’autre part, l’observation du faux jour de repos, conformément à une loi de l’Etat opposée au quatrième commandement constituera la soumission à une autorité en conflit avec celle de Dieu, et, d’autre part du vrai jour de repos selon la loi de Dieu sera une preuve de fidélité au Crééateur. Tandis que les uns, en acceptant le signe de leur soumission au pouvoir terrestre, prendront la marque de la bête, les autres, en choisissant le signe de la fidélité à l’autorité divine, recevront le sceau de Dieu. » Tragédie des Siècles, p. 656–658 (Anglais p. 604-605). Que Dieu nous aide à tenir ferme pour lui !